Le fait pour un auteur de se voir confier l’adaptation audiovisuelle d’une première saison ne confère aucun droit à se voir confier l’adaptation des suivantes, le producteur et la société de doublage étant libres de choisir leurs prestataires.  En l’espèce, il est constant qu’il y a eu, indépendamment des atteintes aux droits par ailleurs sanctionnées, mésentente entre le producteur et l’auteur, qui avaient de nombreux points de désaccord, mésentente qui a conduit à faire le choix d’un autre adaptateur pour les saisons 2 et 3 de la série TV en cause.

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