Absence d’obligation légale de restauration

Rien n’oblige un coproducteur à participer à la restauration du film produit. En l’espèce, un producteur  exposait qu’il a demandé à son partenaire, de participer à ses côtés au projet de restauration du film Le Samouraï en vue d’une exploitation vidéographique, en lui proposant notamment un devis s’élevant à 87.335,34 euros TTC pour une restauration images et son HD.  Le coproducteur était en droit de refuser de participer à cette restauration et se trouvait autorisé à  continuer à exploiter une ancienne copie de l’œuvre (qui ne porte pas atteinte à l’image du film).

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